Transcription podcast - Mon parcours professionnel

Bonjour à toutes et tous, j'espère que vous allez bien. Je suis très heureuse de vous retrouver aujourd'hui pour un nouvel épisode. Et dans cet épisode, je vais vous parler des questions qu'on me pose le plus souvent., C'est-à-dire, quel est mon parcours pro ? Comment je suis devenue naturo ? Comment j'ai décidé ? Comment je vis de mon métier ? Voilà, c'est vraiment..., Je pense que les reconversions pro inspirent beaucoup de gens. et que c'est toujours intéressant de connaître un petit peu les coulisses, de savoir bon, quel a été le parcours sur le papier, sur le CV, mais aussi quels ont été peut-être les embûches, peut-être le vécu des personnes que vous pouvez entendre en podcast, voir sur les réseaux sociaux, etc. Et donc, comme on me pose très, très souvent la question, je vais vous parler un petit peu en quelques mots de mon parcours pro à moi. C'est mon vécu, c'est mon expérience, donc ça n'appelle aucun jugement ni aucun ni aucun dogmatisme. Je ne vous dis pas que c'est la bonne voie à suivre., C'est un chemin assez classique finalement, le mien, qu'on voit assez souvent aujourd'hui, un chemin de reconversion du marketing vers la naturopathie. Mais voilà, c'est juste comme ça que les choses se sont faites pour moi et j'avais envie, à cœur ouvert, de vous parler un petit peu de mon parcours, mais aussi de de tout ce que j'ai pu découvrir, tout ce cheminement que j'ai pu faire en devenant naturopathe, en montant mon entreprise, etc. Donc j'espère que ça va répondre à certaines questions que peut-être vous vous posiez, que ça va peut-être vous guider vous aussi si vous souhaitez vous reconvertir ou en tout cas vous intéresser un petit peu plus au métier du bien-être. Et puis que ça vous permettra peut-être de me connaître un petit peu mieux, puisque je suis encore assez secrète sur ma vie. Donc voilà., Pour commencer, moi j'ai fait un collège lycée général, tout ce qu'il y a de plus classique. et j'avais un vrai intérêt pour le marketing. Mais pour le côté créatif, le côté artistique, j'ai toujours beaucoup aimé aller voir des expos, j'ai toujours adoré les cours d'art, j'ai toujours fait des cours d'activité manuelle, même enfant, bricoler des trucs dans le jardin, voilà, j'ai toujours adoré ça. Et quand on a commencé à parler d'orientation, que je suis allée dans les salons de l'étudiant et des trucs comme ça, vraiment, c'est pas une époque à laquelle j'aurais envie de revenir parce que c'est dur en fait. On nous demande super tôt., de décider un métier qui semblait être, à l'époque, un métier pour la vie. Et c'est quand même compliqué. Moi, j'avais un an d'avance en plus. Donc, j'avais 16-17 ans en première terminale et il fallait que je me décide sur un métier potentiellement pour toute ma vie. Ça me paraissait dingue., Et puis, j'ai entendu dire que ma génération aurait à peu près 16 métiers différents dans sa carrière. Ça m'a un tout petit peu détendue sur le sujet de me dire qu'en fait, c'est un premier choix, mais que c'est pas forcément le choix de toute une vie. Et donc moi, j'étais très intéressée par tout ce qui était images de marques, mais peut-être même plus côté graphiste, côté créat, artistique, visuel. Et donc, j'ai fait plusieurs stages avec ma marraine, avec ma tante, mon oncle. À droite, à gauche, j'ai pu faire des stages et découvrir un petit peu ce secteur-là du marketing., Et puis je me suis finalement orientée vers une école de commerce après le bac, directement. Je n'ai pas fait de prépa parce que mon idée première de faire une école d'art et quelque chose comme ça, ce n'était pas quelque chose de très rassurant pour mon entourage parce que les débouchés n'étaient pas forcément simples, etc. Donc j'ai suivi les conseils qu'on m'a donnés, même si à l'époque on me disait déjà que le marketing s'était bouché, que blablabla, que c'était pas un métier d'avenir. Bon finalement, spoiler alert, le digital est passé par là et en quelques années le marketing digital est devenu un vrai métier d'avenir. Et c'est marrant parce que quelques années plus tard, quelqu'un m'a dit « Ah mais c'est marrant, Marion, vous passez de métier d'avenir en métier d'avenir comme ça, super rapidement »., Et oui, c'est vrai que j'étais dans le marketing digital, puis que je suis devenue naturopathe, ce qui me semble être un sacré métier d'avenir aussi, que j'ai fait du podcast au tout début du podcast en France, voilà. Donc, écoutez, finalement, ne vous fiez qu'à vous-même, puisque les gens ont beau avoir des avis, on ne sait jamais de quoi la vie est faite. Et donc me voilà avec le bac en poche à 17 ans embarquée pour une école de commerce. Donc j'ai choisi de faire une école de commerce directement après le bac parce que c'est pas que j'aimais pas les études mais j'avais pas envie que toute ma vie ne tourne qu'autour de mes études. J'avais pas envie de mettre entre parenthèses mes expériences de vie, ma vie..., ma vie sociale en fait pour les études et j'ai toujours été quelqu'un qui avait très envie de vivre plein d'expériences. Quand j'étais plus jeune, j'ai eu la chance de beaucoup beaucoup voyager avec mes parents et donc moi je me voyais voyager aux quatre coins du monde, faire plein de métiers différents, vivre plein de choses différentes. J'étais toujours partante pour tester des nouvelles choses, des nouvelles expériences. c'est vraiment quelque chose qui me nourrissait, qui me nourrit encore beaucoup aujourd'hui. J'ai cet esprit un peu..., un peu comme une petite sauterelle quoi, qui part d'un côté puis de l'autre, et j'aime tester plein de choses. Et donc pour moi c'était pas envisageable de passer deux ans, trois ans à être ultra focus sur quelque chose, à devoir vraiment couper du reste, etc. Bon, finalement c'est un petit peu quand même ce que j'ai dû faire pendant ma formation de natureau, mais... mais j'ai trouvé un tel groupe avec ma promo que finalement j'avais pas l'impression de me couper, je me coupais juste de ma vie d'avant mais pas de la vie tout court. Petite parenthèse., Et puis à l'époque je montais à cheval énormément et donc c'était très important pour moi de rester en région parisienne là où j'avais mon cheval, de pouvoir garder du temps pour mes copines, pour ma passion du cheval, Je dansais à l'époque aussi, mes activités créatives, enfin voilà. Je me nourrissais de bien d'autres choses que les études et donc je faisais ce qu'il fallait pour que ça passe, mais j'avais pas envie de consacrer toute ma vie à ça. Donc j'ai été prise dans pas mal d'écoles de commerce en post-bac. Je me rappelle de cette époque où franchement c'est un peu rude parce qu'à la fois on prépare le permis de conduire, à la fois on prépare le bac, À la fois on passe tous les examens pour les écoles, alors dans mon cas pour les écoles de commerce, mais parfois c'est par Coursup et les dossiers, etc. C'est quand même une époque qui n'est pas sereine parce qu'on ne sait pas trop où on va être pris, à quoi va ressembler notre vie dans quelques mois., Et ça non plus, je n'aurais pas envie d'y revenir pour rien au monde honnêtement. J'ai eu la chance de pouvoir faire ma troisième année, mon année à l'étranger. J'ai eu la chance de partir vivre à Melbourne, en Australie, de passer un an complet là-bas, d'être à la fois à l'université, à la fois de travailler dans une boulangerie française et donc de devenir complètement bilingue, mais surtout de vivre des expériences, encore une fois, à l'étranger. J'ai eu la chance de pouvoir faire ma troisième année, mon année à l'étranger, j'ai eu la chance de partir vivre à Melbourne, en Australie, de passer un an complet là-bas, d'être à la fois à l'université, à la fois de travailler dans une boulangerie française et donc de devenir complètement bilingue, très loin de mon quotidien, avec des gens qui ont une toute autre philosophie de vie, qui sont beaucoup moins jugeants, beaucoup moins..., Oui, beaucoup moins jugeant. C'est vraiment ça que j'ai ressenti. Hyper accueillant, avec une douceur de vivre hyper à la cool. J'ai adoré cette expérience. Je me suis nourrie de voyages, de rencontres., C'était beaucoup la fête aussi. C'était vraiment génial et ça m'a beaucoup donné confiance en moi aussi, d'évoluer dans un cadre différent. Pour ce qui est des études en Australie, j'étais sur un truc très basé sur la finance, etc. Donc ce n'était pas mon truc, ce n'était pas à l'éclate et puis j'y étais encore une fois plus pour l'expérience vraiment que pour les cours. Mais bon, j'ai validé mes années et puis à la fin de mon école de commerce, je me suis orientée vers le marketing digital., qui était en pleine hausse à ce moment-là. Et donc assez vite, finalement, j'ai pu me positionner comme spécialisée dans le marketing digital. Je m'occupais à la fois de tout ce qui était gestion de back-office, de sites internet. J'ai travaillé pour un e-shop. J'ai co-créé des sites avec des agences plus techniques que moi, puisque je ne faisais pas de code ni quoi que ce soit., J'ai gardé tout ce côté un peu créat avec la rédaction, la rédaction des descriptifs pour des produits, mais aussi la rédaction de toute l'histoire de la marque, du positionnement de la marque, etc. Et puis, j'avais aussi ce côté créatif en gérant les réseaux sociaux de plusieurs marques. J'ai travaillé pour une marque de mobilier design, j'ai travaillé pour un magazine en ligne. Voilà, j'ai fait pas mal de choses différentes. J'ai travaillé pour l'horlogerie aussi, l'horlogerie de luxe., J'ai eu la chance de pouvoir aussi organiser des événements. C'était assez varié, c'était assez riche. Et finalement, le marketing digital est quelque chose d'assez transverse puisqu'on en a besoin pour le e-commerce, la vente, on en a besoin pour l'image avec les réseaux sociaux, on en a besoin pour couvrir des événements. Donc voilà, j'ai pu faire des choses très diverses et variées. Je me suis vraiment bien amusée., J'ai rencontré plein d'amis dans ces premières années. Et puis ensuite, j'ai commencé à travailler dans l'hôtellerie de luxe, et donc là avec d'abord un poste de responsable marketing digital, puis de responsable marketing plus global, et vraiment cette fois ce travail de gestion d'images de marques, des logos, des choses comme ça. J'ai travaillé pour des très très beaux établissements avec une une vraie histoire, un savoir-faire. Et je crois que la chance que j'ai eue, c'est de pouvoir travailler dans plein de secteurs différents, en étant toujours spécialisée en marketing digital. Mais j'ai toujours travaillé dans des secteurs avec un vrai savoir-faire., Et c'est ce qui m'a beaucoup passionnée dans l'hôtellerie Luxe, c'était ce... Ce savoir-faire, cette attention aux détails, cet artisanat, que ce soit dans la cuisine, dans les pâtisseries, dans la manière d'entretenir même le mobilier, l'art de la table. J'ai travaillé avec des grands noms de la gastronomie, c'était vraiment une très chouette expérience., Mais c'est aussi une expérience qui a mis ma santé à rude épreuve. J'aurai peut-être l'occasion de vous en parler dans un autre épisode, plutôt sur mon parcours de santé., très très intense pour mon système nerveux. Et comme je suis une passionnée, je me suis donné corps et âme. Et mon corps a fini par me dire de gentiment ralentir parce qu'il ne tenait plus la route. Donc voilà, je vous reparlerai de tout ça. Mais j'ai fait un petit burn-out, un joli petit burn-out en 2000, je sais pas bien les années, mais je dirais 2018., Et pendant toutes ces années, j'étais suivie par une naturopathe qui m'aidait. à garder la tête hors de l'eau, à soutenir mon immunité, à calmer mon système nerveux, à bien nourrir mon corps, etc. Parce que j'avais pas trop le temps de faire des courses correctes, de cuisiner, j'étais toujours à droite à gauche à un événement, une soirée, un truc, donc voilà, je picorais à droite à gauche, je buvais une gorgée de champagne avec un petit four et c'était pas très très sain ce mode de vie, et surtout j'étais très stressée, j'ai commencé à avoir pas mal de de symptômes qui arrivaient, notamment de symptômes par rapport à mon cycle menstruel, comme quoi vraiment le chemin s'est dessiné petit à petit pour me mener là où je suis aujourd'hui. Mais voilà, je vous reparlerai de mon parcours de santé dans un autre épisode. Et au moment de ce burn-out, je savais que j'avais envie de me former en naturopathie, je savais pas si je deviendrais naturopathe, je savais pas ce que j'en ferais., À vrai dire, j'étais dans une phase de ma vie où je réfléchissais pas beaucoup, j'étais vraiment dans l'intuition, le gut feeling. Je savais qu'il fallait que je fasse ça, sans trop savoir comment, pourquoi, mais voilà, je savais qu'il fallait que je fasse ça, je savais que j'avais deux mois de chômage devant moi, deux ans pardon, de chômage devant moi, et que donc j'allais pouvoir à la fois créer ma boîte pour continuer à faire des missions en marketing digital en freelance, et à la fois suivre cette formation de naturopathie. Donc je me suis inscrite, j'ai commencé quelques mois après. Et puis au bout de quasiment deux ans de formation, j'ai commencé à consulter. Finalement, au fil de l'eau, mon chemin s'est dessiné et je savais que je voulais être en cabinet, que je voulais accompagner les gens, que ce côté humain, en fait, c'était tout ce qui me manquait dans mon job d'avant., Et d'ailleurs, j'ai eu la chance de pouvoir être accompagnée sur quelques séances de coaching avec une femme qui a beaucoup analysé ma manière de fonctionner et ce qui me nourrissait dans mon job de marketeuse et ce qui me manquait terriblement. Et elle m'a donné confiance vraiment pour aller vers cette voie de la naturopathie et je la remercie encore parce que finalement dans ces moments-là on est un peu perdu, on a un petit peu peur de faire le grand saut. Et ce grand saut pro a finalement été un grand saut pour à peu près tout dans ma vie, puisque j'ai changé beaucoup beaucoup de choses depuis cette époque-là. Et donc après mes études de natureaux, je savais que je voulais quoi qu'il arrive me consacrer à l'accompagnement des femmes, me spécialiser dans tout ce qui touchait aux hormones et au cycle menstruel, parce que moi j'avais tous ces petits désagréments qui duraient et que personne ne savait m'aider, que ce soit les médecins, les natureaux, etc. Donc, j'ai commencé à énormément lire des études, des bouquins américains, en anglais, à me renseigner avec le podcast, à faire une tonne d'interviews., Puisqu'entre temps, avant de commencer ma formation naturelle, j'ai eu l'idée de lancer le podcast parce que j'en écoutais pas mal et que j'écoutais notamment Génération XX, qui était un podcast sur l'entreprenariat au féminin. Et je savais depuis, depuis toujours, en fait, que j'avais envie de monter ma boîte. J'avais même cette idée au moment de passer mon bac. d'ouvrir un concept store dans lequel je vendrais des objets des quatre coins du monde que j'aurais glané au fil de mes voyages et qui aurait un petit coin salon de thé à côté. Donc voilà, vraiment, j'avais cette envie d'entreprendre depuis longtemps., Et là, je savais que c'était le bon moment et l'écoute de tous ces podcasts m'a carrément boostée. Et je me suis dit, mais moi, je vais créer un podcast sur le bien-être. Il n'y en avait pas franchement à l'époque. Et puis, je trouvais qu'il y avait plein de nouvelles tendances qui parlaient de de bien-être, un nouveau style de yoga, une nouvelle boisson à la mode, un truc, un machin. Et je me disais, mais quand même, à moins d'être le nez dans les magazines en permanence ou sur les réseaux sociaux, on ne sait pas tout ce que c'est, ces trucs-là., Et donc, l'idée, c'était de faire des épisodes pour expliquer toutes ces tendances bien-être. Le contenu du podcast a un petit peu évolué aujourd'hui, mais voilà, c'était il y a bientôt cinq ans. Donc j'ai lancé le podcast, j'ai fait quelques missions en freelance, en marketing digital, puis j'ai commencé ma formation natureau. Je me suis dit que c'était sûr que je voulais être natureau en cabinet, me spécialiser dans l'accompagnement des femmes, donc j'ai continué à beaucoup me former autour. J'ai fait une formation en aromathérapie, j'ai fait une formation en phytothérapie, j'ai fait une formation sur l'accompagnement des femmes., Enfin voilà, plein plein de formations et je continue à me former en permanence tous les ans. J'ai deux, trois formations que je fais pour être toujours plus spécialisée sur le sujet, toujours plus à la pointe. J'ai commencé aussi pendant ce temps à écrire mon livre, à le composer, etc. Et puis, une fois ma formation terminée, je me suis installée. Il y a eu évidemment le Covid entre temps, donc mes premières années d'installation, surtout ma première année, a été teintée par pas mal de ces histoires de confinement, etc., Donc, à la fois, ça m'a donné du temps pour finaliser mon livre, pour bien finaliser ma formation, etc. Et puis ça m'a beaucoup lancé finalement en visio, parce que de toute façon, on ne pouvait pas faire grand chose d'autre pendant le confinement. Quand j'ai commencé ma formation naturaux, on nous disait que ce n'était pas possible de consulter en visio. Et puis finalement, tous mes formateurs se mettaient à le faire pendant le confinement. Donc je me suis dit bon, OK, donc c'est que ça doit être faisable quand même., Et même si j'ai ouvert un cabinet en plein centre-ville à Bordeaux, parce que oui, entre temps, j'ai déménagé à Bordeaux entre le premier et le deuxième confinement. Finalement, j'ai toujours beaucoup été en visio et assez peu en présentiel. Et c'est encore le cas aujourd'hui, ce qui est très chouette parce que ça me permet d'accompagner des femmes qui sont aux quatre coins du monde littéralement. Et ça, c'est très, très cool. Donc voilà, j'ai ouvert mon cabinet de naturopathie avec cette idée dès le début d'être vraiment spécialisée dans l'accompagnement des femmes., En parallèle, j'ai signé avec les éditions La Plage pour la sortie de mon livre. J'ai continué à animer le podcast. Je me suis bien éreinté. J'ai mené beaucoup, beaucoup de choses de front. Aujourd'hui, j'arrive enfin à à lever les pieds et à me dire que ça y est, les choses sont installées et que j'ai pas besoin d'en faire 50 000 choses à la fois et de m'éparpiller, mais que j'ai plutôt envie d'en faire peu et de les faire de manière approfondie., Mais c'est vrai que sur les premières années, on veut se faire connaître et donc j'ai fait beaucoup de conférences à droite à gauche, animé des ateliers. J'ai fait énormément de choses, des allers-retours avec Paris aussi, puisque j'avais tout mon réseau là-bas. J'ai rencontré des difficultés évidemment au début en m'installant. Je me suis quand même traînée les séquelles de mon burn-out un petit moment. Ça a été compliqué pour moi de me sentir légitime, comme beaucoup de personnes qui se lancent dans des choses nouvelles., Ça a été très compliqué pour moi aussi de prendre les gens sur mes épaules, cette sensation d'être dans quand même une relation d'intimité, parce qu'une consultation naturelle c'est quand même assez intime. On est un peu référent des personnes par rapport à leurs suivis natureaux, pas par rapport au reste évidemment. Et je sentais que j'avais besoin de mettre des limites, j'avais un petit peu peur de me sentir envahie. Je pouvais vite suffoquer si j'avais trop de rendez-vous. Je sentais que mon système nerveux était encore un peu fragile et que j'avais un peu besoin d'être dans ma grotte., Les années confinement aussi ont causé ce retour beaucoup à... à soi, à son intérieur. Mais voilà, au début, par exemple, c'était très compliqué pour moi de tutoyer parce que j'avais peur que les femmes que j'accompagnais se permettent des familiarités ou s'investissent trop ou m'étouffent, en fait. C'était vraiment ça, je crois que j'avais peur qu'elles m'en demandent trop. Et ça, c'est simplement parce qu'à la fois, j'en avais trop dans mon agenda., Je peux vous rappeler, je finalisais mon livre, je gérais le podcast, les collaborations commerciales du podcast. les consultations, et puis j'avais des projets de programmes en parallèle sur lesquels je bossais, des conférences, des choses comme ça. Et donc je pense que comme mon verre était déjà très plein, j'avais peur. Je savais qu'un petit grain de sable, une petite goutte d'eau en plus, pouvait faire déborder les choses. Donc j'avais tendance à avoir moins le cœur ouvert en tout cas., Je ne sais pas si les femmes que j'accompagnais à l'époque l'ont ressenti, je ne pense pas, mais voilà, moi je me sentais pas encore totalement à l'aise dans ma posture de thérapeute. Et puis évidemment, ce que je vous disais, ce syndrome de l'imposteur, cette sensation de ne pas connaître assez de choses, de ne pas faire assez bien, de vouloir faire une tonne de formations, et au final de binger toutes ces formations sans forcément prendre le temps de les assimiler. Et puis cette envie de transmettre un maximum de clés, parce qu'en fait, moi, je venais de découvrir des choses qui me semblaient révolutionnaires. Donc, j'avais tendance à transmettre beaucoup trop de choses pendant les consultations et à noyer un petit peu les personnes que j'accompagnais. Ça faisait beaucoup, beaucoup de choses d'un coup., On a aussi cet écueil, on tombe dans cet écueil au début, de vouloir changer nos proches et leur donner plein de conseils alors qu'ils n'ont rien demandé. Et que ce genre de parcours, c'est des parcours très personnels et que si on n'a pas envie de le faire, c'est comme arrêter de fumer. On peut nous donner tous les conseils du monde. Si on n'est pas prêt à arrêter, on n'arrêtera pas. changer son hygiène de vie et s'orienter vers la naturopathie, c'est un peu pareil., Donc petit à petit, j'ai accepté avec une grande humilité de ne pas tout savoir, de le dire quand je ne savais pas, d'accepter évidemment la critique puisque je me sentais plus solide aussi. Bernard m'a beaucoup, beaucoup ébranlé sur mon image de moi, mais au fil du temps, je me sentais plus solide et donc plus à même d'accepter, d'entendre la critique, de me remettre en question. Et puis, j'ai fait la paix avec cette idée que les personnes venaient me voir en consultation pour ce que j'avais à leur transmettre, et que je transmettais ce que j'avais à offrir ce jour-là, ce moment précis, avec cette personne en face et avec le ressenti que j'avais à ce moment-là, et que c'était juste, que c'était ok. Et qu'en parallèle d'offrir ce que j'avais à offrir, je continuais toujours à me former pour être la plus... la plus pro possible et la plus spécialisée possible, mais que ça ne dépendait pas que de moi., La réussite des gens dépend aussi de leur investissement en face, et ça m'a beaucoup détendue, tout ça. J'ai réussi à trouver mon positionnement, à assumer, de me positionner comme spécialiste de mon sujet, déjà parce que j'ai plusieurs années maintenant de consultation derrière moi, donc beaucoup de femmes différentes accompagnées, beaucoup de vécus différents, et puis un retour sur les conseils que j'ai pu donner, et puis parce que je continue à me former, que je continue à lire, et que je me sens plus légitime. Je suis aussi portée par la confiance que chacune me témoigne en venant me solliciter pour des suivis., J'ai aussi levé le pied sur le podcast en cours de route. Je postais un épisode par semaine et je me suis mise à en faire que un toutes les deux semaines pour que ce soit des épisodes qui sont faits avec plus de cœur, plus de temps, qui me sonnent plus juste pour moi. J'ai aussi arrêté de faire tout ce qui est démarchage commercial pour moi-même. En fait, j'ai des agences qui qui représente mon podcast et qui m'apporte des contrats quand il y en a. Et quand il n'y en a pas, c'est ok, parce que mon business model reposait beaucoup, au départ, sur la publicité que je pouvais avoir sur le podcast et sur les collaborations., Et c'était très incertain. Et finalement, aujourd'hui, j'ai complètement renversé la vapeur. Les collaborations commerciales ne sont que du plus. Quand je dis collaboration commerciale, c'est toujours les publicités sur le podcast, ou alors si je crée du contenu en marques blanches pour des marques, ou si je donne des conférences pour des marques, etc. Mais je ne fais aucune collaboration commerciale sur les réseaux sociaux., Ça, en tout cas, c'est quelque chose que je ne veux pas du tout faire. Et cette vapeur, elle a été renversée parce que c'était insécurisant pour moi que mes revenus ne dépendent pas que de moi, mais dépendent de marques, de choses comme ça. Et le début d'année de cette année 2023 a été très compliqué. On a connu la crise à peu près tous les secteurs d'activité. J'ai eu donc beaucoup moins de projets avec des marques, des marques avec lesquelles je travaillais à l'année ont coupé leur budget., Donc ça a été assez perturbant. J'ai passé plusieurs semaines, même mois, compliquées à la fois avoir peur, peur de devoir revenir en arrière et reprendre un job salarié, peur aussi de perdre de confiance aussi sur mon travail, à ne pas trop savoir comment faire changer, évoluer les choses. Et puis finalement, je pense que j'avais besoin de ce temps pour me reposer, pour faire le point, pour mettre les choses à plat. Et j'ai listé ce qui me plaisait le plus dans ma vie pro, dans la natureau, dans le podcast, dans les partenariats avec les marques. J'ai fait du tri aussi sur les choses qui ne me plaisaient plus, donc je ne fais plus aucun contenu ni partenariat qui soit pas rémunérateur pour mon entreprise., Je ne fais plus d'affiliation parce que ça me prend trop de temps pour me rapporter des cacahuètes. Je ne réponds plus aux invitations presse et à ce genre de choses parce que c'est pour moi de la perte de temps. Et par contre, j'ai listé tout ce qui me plaisait, tout ce que j'aimais faire, le besoin de sécurité que j'avais. J'ai fait un vrai travail d'introspection comme par hasard en plein hiver. C'est le meilleur moment pour le faire., J'ai fait des ateliers de coaching aussi avec Anne-Claire Meret et Julia Espérance qui m'ont beaucoup aidée à me relancer. Il y avait beaucoup de choses que je connaissais déjà venant du monde du marketing, mais ça m'a Ça m'a boostée, ça m'a mis les idées au clair et je me suis bloquée une semaine entière pour suivre ses ateliers et bosser sur mon business model. Donc le matin je suivais les ateliers, l'après-midi je bossais sur la refonte un petit peu de mon business. Et puis voilà, j'ai laissé le temps venir, j'ai accueilli ma déception, mes angoisses, ma fatigue, mes émotions. J'ai eu un petit coup dur niveau santé aussi, donc j'ai beaucoup pris soin de moi., J'ai fait des séances de shiatsu, j'ai vu une psy, j'ai fait de l'ostéo, de l'ostéo spécialisé en gynéco, de la kinésiologie, je me suis fait masser, j'ai fait de l'acupuncture, j'ai aussi été suivie en allopathie quand il y avait besoin. J'ai fait énormément de choses et puis petit à petit les choses se sont dessinées. J'ai aussi posé des questions à ma communauté sur les réseaux sociaux, savoir ce qui était important pour vous quand vous étiez suivie, ce qui vous plairait, etc. J'ai fait un petit sondage et en fait les choses sont devenues limpides, qu'il fallait que je vous accompagne, mais autrement. qu'il fallait aussi que je valorise toutes ces formations que j'ai faites, le fait que je sois spécialisée, que je me détache de cette idée de jeune naturopathe., En fait, ça fait des années maintenant, j'ai un livre publié, j'ai un podcast qui cartonne, qui a dépassé les deux millions d'écoutes depuis sa création. Et puis j'ai beaucoup de formations à mon actif et beaucoup de vécu finalement. dans l'accompagnement des femmes, donc il fallait aussi que je valorise ça, et donc que je prenne confiance en moi pour pouvoir bien en témoigner dans mes communications. Et voilà, c'est comme ça que l'accompagnement holistique est né, et aujourd'hui il ne désamplit pas, tous les mois ont été pleins à craquer à chaque fois. Et c'est comme cette sensation d'alignement., Ça m'est arrivé plusieurs fois dans ma vie de sentir que hop, les choses s'alignent. En fait, je suis à la bonne place au bon moment. C'est fluide. C'est complètement ce que je voulais faire et de sentir beaucoup de gratitude et beaucoup de légèreté à ce que je fais. Ça m'a permis aussi de travailler sur ce programme que j'avais en tête depuis des années., Ce programme autour du cycle féminin, j'y ai mis toutes mes connaissances, toutes mes astuces, tous mes conseils, tous mes savoirs. Et je n'hésiterai pas à l'agrémenter au fil du temps pour les personnes qui sont déjà inscrites et pour les nouvelles. Mais voilà, les choses se sont alignées pour moi., Et il y aura d'autres coups durs, c'est évident. Mais je pense que c'est important de savoir « step back », comme on dit. Prendre un pas de recul pour pouvoir se régénérer et aller plus loin, faire les choses autrement. Donc ce n'est pas simple de changer de métier, puisque ça demande de complètement se changer soi-même. En général, c'est cette idée de la chenille qui devient papillon., C'est une reconversion pro, mais c'est aussi une reconversion personnelle. Ça change beaucoup de choses. sur notre place dans la société, notre image de nous, la manière dont les gens nous voient. Ça demande de savoir se positionner, d'être bien ancré et d'oser être qui on est vraiment. Parce qu'évidemment, on peut avoir cette image de la nana classique qui pète un câble dans le marketing et qui fait de la naturopathie ou du bien-être., On peut avoir aussi cette idée de la fille qui porte un sarouel et qui fait cuicui dans les petits oiseaux et qui mange des graines. Mais non, il faut rester aligné et ancré avec ce qu'on veut, avec ce qu'on est, et ça c'est super important. Et puis finalement, se rappeler pourquoi on l'a fait. Et moi je me rappelle que je l'ai fait pour la liberté absolue, puisque dans mon métier d'avant je ne m'habillais pas comme je voulais, j'étais obligée de me maquiller, j'étais obligée de manger, ce qui était prévu, que ce soit quand j'étais dans les restaurants des établissements où je travaillais, ou à la cantine. J'avais quand même des choses assez cadrées et j'avais un grand besoin de liberté, de faire ce que je voulais, de pouvoir me reposer si j'avais mes règles, de pouvoir gérer mon planning, de ne dépendre de personne, de ne pas avoir à caler mes vacances en fonction des gens., Cette vie me semblait bien trop étriquée. Et aujourd'hui, quand je retombe dans une vie étriquée parce que j'ai trop de rendez-vous, parce que je ne me priorise pas, je me rappelle qu'être entrepreneur, ça a plein d'inconvénients, mais il faut se rappeler de pourquoi on l'a fait pour profiter des avantages qui vont avec. Sinon, on se retrouve vite à être des tyrans avec soi-même et à même pas profiter du bénéfice d'être à son compte. Et puis se rappeler aussi que quand on est entrepreneur, qu'on est à son compte, qu'on est indépendant, on est notre propre locomotive. Et que si on ne sait pas se régénérer, prendre des temps pour soi, il y a un moment où il n'y a plus rien qui peut avancer., Et quand on accompagne les autres, c'est lourd sur ses épaules, ça demande encore une fois de l'alignement, de l'ancrage. Mais ça demande aussi d'être bien, d'être régénéré, d'avoir de l'énergie, d'être bien dans ses baskets, bien dans sa tête. Et pour ça, je pourrais vous en parler aussi si vous avez envie que je fasse un épisode un peu sur une semaine dans ma vie d'entrepreneur du bien-être, ou voilà, comment cadrer un petit peu mon emploi du temps, puisque ça, ça a été tout un cheminement aussi. Au début, je me laissais bouffer avec des consultations à droite à gauche qui n'étaient pas du tout centrées sur les mêmes journées, qui n'étaient pas du tout mêmes horaires. J'avais des trous dans mes journées, ça m'épuisait., Je voulais être dispo tout le temps puisque si j'avais des nouveaux clients, il fallait absolument qu'ils aient un créneau qui leur convienne et en fait non, ça c'est pas ok. Il faut que les choses soient ok pour vous avant de pouvoir les proposer aux autres. Et voilà, un petit peu ces challenges que j'ai pu vivre., C'est important, comme toujours, cette idée de remplir sa carafe d'eau avant de pouvoir servir de l'eau aux autres, ou de mettre son masque à oxygène à soi avant de le mettre aux gens qui nous entourent. Et donc, quand on est thérapeute, il faut privilégier des temps pour soi, pour se régénérer. Ça fait partie du job. De la même manière que la compta, l'administratif, sont des temps qu'il faut bloquer dans l'agenda. Mais prendre des temps pour soi et pour se régénérer, ça fait partie du job., Et si on est tout le temps en consulte, on n'a pas le temps. pour répondre à ses mails, faire son administratif, prendre soin de soi, et donc on finit par se griller. Et il y en a des naturopathes qui font un burnout en étant naturopathes, donc c'est important de prendre soin de soi., J'ai moi aussi aujourd'hui mes signaux d'alarme. Quand je sens que je m'agace vite, que j'ai moins d'entrain, que j'ai moins d'idées créatives. Je ressens ces vieux démons d'angoisse du dimanche soir qui remontent. Je sens que je respire moins, que j'ai un peu dépassé mes limites, que j'épuisais dans mes réserves. Et du coup, je ne suis plus du tout dans la bonne énergie., Je fais les choses pour les faire, mais je ne les fais pas avec le cœur. Et ça, ce n'est pas juste pour moi, mais ce n'est pas juste non plus pour vous qui m'écoutez ou pour les femmes que j'accompagne. Donc ça c'est vraiment important pour moi, de rester à l'écoute de mon corps. Je vous le disais, j'ai mis beaucoup de choses en place dans mon quotidien pour que ce soit plus fluide, plus régulier. J'ai vraiment une routine qui est bénéfique à mon système nerveux, ça passe par l'organisation, préparer les saisons de podcast en amont par exemple, comportimenter mes journées, mes semaines, mes mois pour garder des temps pour moi., prévoir des temps pour chacune des tâches différentes, mais aussi des temps de vide où je peux les occuper comme je veux, soit pour moi, soit pour un imprévu, mais au moins j'ai ces espèces de temps un peu tampons qui vont pouvoir faire que ça reste gérable et doux. Voilà, c'est essentiel. Depuis mon burn-out, je ne supporte plus très bien de me sentir pressée ou surchargée. Et je pense que je vous ferai un épisode sur tout ça pour vous donner quelques astuces si ça vous parle. Je voulais aussi vous dire un mot sur le fait que ce double métier là, ce triple même métier que je mène aujourd'hui, donc à la fois naturopathe, à la fois podcasteuse et à la fois créatrice de contenu pour différentes marques, ça me demande de rester très sincère, très authentique, très intègre, de toujours travailler avec mon cœur., Et il peut y avoir pas mal de dichotomie, c'est des métiers qui peuvent sembler être assez contradictoires. Il va m'arriver par exemple d'avoir une proposition de contrat de publicité pour le podcast pour des marques qui ne sont pas des marques alignées avec la naturopathie, qui sont des marques qui pour tout un chacun sont tout à fait ok, mais qui ne sont pas forcément alignées avec mes conseils de naturopathes, avec ce que je fais pour moi au quotidien, ce que je conseille pour les gens qui m'entourent au quotidien. Et dans ces cas-là, je dis non, je m'assieds sur des milliers d'euros de contrat, mais c'est ok en fait, parce qu'il faut que je reste complètement intègre et alignée avec ce que je suis, avec les valeurs que je défends. Et c'est ça le moteur de mon entreprise, c'est vraiment de faire les choses avec le cœur et avec authenticité. Et tant pis si le chiffre d'affaires traîne un peu plus., Par exemple, pour vous donner un exemple sur les compléments alimentaires, je fais très attention à ne pas vous donner en dehors des consultations et des suivis où je vous connais, où j'ai passé des heures à faire votre connaissance, savoir ce dont votre corps a besoin, où vous en êtes, etc. Là, je vous donne des compléments alimentaires, des dosages, etc. Mais en dehors, vous ne m'entendrez jamais conseiller des compléments alimentaires comme ça, tout va., Les seules collaborations que vous me verrez faire avec des labos de compléments alimentaires, c'est des choses que j'ai testées, qui sont sérieuses et surtout c'est des compléments qui ne sont pas dangereux si vous vous auto-complémentez. C'est pas forcément les mêmes compléments avec lesquels je travaille moi dans ma vie de naturopathe, là je vais aller sur des choses plus spécifiques, plus dosées, plus techniques, mais par contre il y a des labos qui font des choses très bien pour s'auto-complémenter pour des problématiques de peau, de cheveux, d'énergie, des petites choses comme ça qui peuvent être une première intention pour les gens qui n'ont pas forcément le budget de se faire accompagner en naturopathie. Mais voilà, je fais très très attention à ce que mes différentes activités restent complètement alignées, restent cohérentes, et que vous puissiez être en totale confiance. Voilà, je voulais quand même vous dire un mot là-dessus. Vous savez tout., J'espère que cet épisode un peu plus intime vous plaît. Si c'est le cas, n'hésitez pas à me dire. Je pourrais vous en faire d'autres. J'espère que ça vous donne peut-être des idées pour votre propre orientation pro. Si vous avez des questions, je vais ouvrir dans les jours qui viennent une boîte à questions sur Instagram., N'hésitez pas à m'y suivre. Mon compte, c'est Healthy Living by Marion Pézard. Et pour finir, si vous voulez en savoir plus, j'ai répondu à différentes interviews sur mon parcours pro, notamment dans les podcasts Basilic, Wellness Impact, Graines d'Orienté, Food Therapy, sur la page YouTube Komorebi. Et puis j'ai aussi répondu à toutes les questions qu'on me pose fréquemment sur mon métier de naturopathe spécialisée dans l'accompagnement des femmes, dans les épisodes 2 et 5 de la saison 3 du podcast. Voilà de quoi en savoir plus., Peut-être vous nourrir et vous donner des idées. J'espère que ça vous aura plu. N'hésitez pas à me poser toutes vos questions sur Instagram.

Marion Pezard